L'incroyable confession d'une spécialiste financière reconnue, ATTENTION : les raisons de son retournement pourraient
Cher Lecteur, Mon nom est Simone Wapler. Vous me connaissez peut-être grâce au travail que j'ai accompli ces 13 dernières années pour aider les épargnants français à surmonter la crise qui frappe le pays depuis 2009.
Toutes mes convictions, toutes mes prévisions ont été balayées par un nouveau -- et terrible -- bouleversement qui aura lieu en France avant la fin de la décennie... et qui pourrait tout simplement mettre fin au mode de vie que vous tenez pour acquis. En fait, comme nous le verrons dans quelques lignes, ce bouleversement a déjà commencé. Il est lié à la crise de la Zone euro... et à la crise financière entamée en 2007... mais il est infiniment plus dangereux, pour les Français, que ces deux crises combinées. Qui plus est, il dépasse le domaine de l'épargne et de l'investissement.
Ce qui est en train de se passer m'a forcée à repenser entièrement mon point de vue sur la voie que prend la France -- financièrement, politiquement et culturellement -- dans les années qui viennent. J'ai dû me résoudre à l'évidence :
La réalité dépasse mes prédictions Avant d'aller plus loin, permettez-moi de vous en dire un peu plus à mon sujet. Je suis ingénieur et spécialiste de l'économie. Je vous préviens d'emblée, mes travaux ne sont pas commandés par de grandes institutions publiques ou privées, ni banques, ni ministères. Je ne dépose pas mes conseils dans le creux de l'oreille de quelque grand dirigeant de ce monde, ni n'en reçois de ces derniers. Mon objectif est simple : il ne s'agit pas ici de briller dans les dîners mondains mais de vous aider à faire fructifier votre patrimoine et le transmettre à vos enfants. J'ai ruminé mes idées longtemps, j'ai poussé mes idées jusqu'au bout. Depuis plus de 13 ans, j'étudie l'impact des politiques économiques sur la vie de tous les jours et sur les patrimoines des Français. Le vôtre, le mien. Et depuis plus de 13 ans, je décortique l'incapacité de l'Etat à se réformer. J'ai publié quatre livres épluchant la situation de notre pays. A mon étonnement, ils se sont à chaque fois vendus comme des petits pains ; en quelques semaines ils étaient épuisés. Et depuis que j'ai écrit mon dernier ouvrage, La Fabrique de Pauvres, la situation s'est dégradée à tel point que j'ai décidé de vous écrire cette lettre. Voyez-vous, en plus d'être auteur, je suis Directrice de la rédaction au sein des Publications Agora.
Fondé en 1979, le réseau Agora est aujourd'hui, au niveau mondial, plus grand que le New York Times et le Wall Street Journal… et pourtant, nous sommes très peu connus du grand public. C'est volontaire -- je vous expliquerai pourquoi dans un instant. D'abord, revenons un peu en arrière, à l'année 2011. A l'époque, j'ai envoyé à nos lecteurs un message intitulé "France, la Faillite". Voici ce que j'écrivais à l'époque : Vous me direz : en quoi vous êtes-vous trompée ? Depuis 2011...
Alors pourquoi un tel revirement de ma part ? Parce que depuis 2011, je prévoyais un effondrement "à la grecque" pour notre pays : une fuite des capitaux, un effondrement des banques, une crise à l'échelle européenne suivie d'une cure d'austérité massive précipitant brutalement la France dans le chaos. Eh bien, je dois l'admettre aujourd'hui : j'avais tort. Ce qui est en train de se passer en France est infiniment pire que ce qui est arrivé à la Grèce... et surtout, c'est infiniment plus insidieux... voire carrément vicieux. Il y a une seule chose en commun avec ma prévision d'origine :
Je sais bien : tout cela semble parfaitement incroyable. Des exagérations scandaleuses destinées à effrayer les naïfs. Pourtant, je ne fais que pousser jusqu'à leur conclusion logique les recherches approfondies faites par le groupe Agora sur ce sujet. Vous êtes probablement plus que sceptique. Après tout, comme je le soulignais il y a quelques lignes, la majeure partie des Français ignore notre existence. Nous ne possédons pas de chaîne de télévision -- ni même un seul journal. Nous n'achetons pas de pages de publicité sur papier glacé dans des magazines. Nous ne mettons pas notre nom sur des stades ou quoi que ce soit de ce genre.
Au cours de nos 36 années d'existence, nous sommes devenus la plus grande maison d'édition de notre genre au monde, travaillant dans 20 pays différents et comptant 2,4 millions de lecteurs au niveau international. Et nous l'avons fait en exposant -- et souvent en prédisant avec exactitude -- les événements et les tendances les plus importants dans l'histoire récente de notre planète. Par exemple :
Mais nous ne nous intéressons pas uniquement à l'investissement... En fait, si vous entriez au hasard dans l'un des 33 bureaux d'Agora de par le monde, vous auriez autant de chances de rencontrer un ex-banquier qu'un diplômé de lettres classiques... un médecin ou un conseiller de la CIA... voire l'ancien directeur de la BBC...
C'est ainsi que nous avons pu prévoir certains des événements majeurs mondiaux... avant qu'ils ne se produisent. Mais je vais m'arrêter là -- car malgré notre historique inégalé à ce jour (nous avons même fait mieux que la CIA à plusieurs reprises), ce n'est pas pour parler du passé que je m'adresse à vous aujourd'hui. Je mentionne nos succès uniquement parce que je voudrais que vous compreniez une chose essentielle : nous prenons ce que nous faisons très à coeur. En tant que maison d'édition, nous nous concentrons sur les idées. Notre objectif est de faire circuler et de promouvoir les idées qui peuvent, selon nous, rendre le monde meilleur... mais aussi, à l'inverse, de révéler et exposer les idées dont nous pensons qu'elles sont dangereuses. C'est exactement pour cette raison que j'ai élaboré le message que vous êtes en train de lire.
Ne vous inquiétez pas. Je ne me présente pas à un poste politique, je ne lève pas de fonds pour une campagne électorale. Je ne vais pas non plus essayer de vous vendre une plate-forme de trading miraculeuse... ou un "guide de survie" aussi inapplicable que superflu.
Non. En ce qui me concerne, je vais juste vous livrer le fruit de mes dernières recherches -- celles qui m'ont poussée à tout changer dans ma manière de voir les choses...
La vraie guerre du gouvernement français Plus précisément, j'aimerais vous démontrer que le gouvernement et les autorités du pays, aux plus hauts niveaux, mènent actuellement une guerre désespérée pour la survie de notre système. Une guerre dans laquelle ils sont prêts à tout pour sortir vainqueurs... ... Y compris à l'utilisation, possible pour la première fois de l'histoire humaine, d'une arme de destruction massive pour votre argent.
Chaque partie de ce scénario est basée sur des événements réels qui ont déjà eu lieu -- et qui pourraient aujourd'hui de se reproduire... mais en France, cette fois-ci.
Ce ne sont là que des exemples récents, encore bien présents dans tous les esprits. Mario Draghi avait beau annoncer, le 3 septembre 2015 : ... Jean-Claude Juncker lui-même, président de l'Union européenne, lui opposait un démenti spectaculaire à peine une semaine plus tard. Le 9 septembre 2015, dans son discours sur l'état de l'Europe, il déclarait : Les autorités elles-mêmes le reconnaissent : même selon leurs propres critères, la politique de la BCE a échoué.
Mais prenons un peu de recul.
Voyons exactement ce à quoi nous Peut-être que vous avez vous-même surveillé quelques dates spécifiques pouvant marquer le début d'une crise... et qui sont toutes passées sans que rien ne se produise. Si oui, vous n'êtes pas seul. Il y a beaucoup de gens qui savent, au fond d'eux-mêmes, que quelque chose ne va pas en France... que le pays a changé. Pourtant, ils n'arrivent pas à mettre le doigt sur ce qui se passe exactement... ou sur ce qui nous attend. Il ne s'agit pas simplement de François Hollande... de la crise économique... ou des dangers qui pèsent sur l'euro. Il y a un problème bien plus profond...
Entre ça et la "reprise" qu'on essaie de nous faire avaler... pas étonnant que la vaste majorité des Français ne se doutent absolument pas de la menace contre laquelle notre propre gouvernement dépense des milliers de milliards d'euros... pour tenter de se protéger. Or c'est précisément pour cette raison que notre société, Agora, existe. C'est ce qui m'amène ici aujourd'hui : vous dire la vérité.
Il faut revenir aux années 70 pour retrouver les racines du problème. Regardez ce graphique : Savez-vous à quand remonte le dernier budget équilibré en France -- c'est-à-dire la dernière fois que nos finances étaient saines ? 1973. Oui. Notre pays est dans le rouge depuis bientôt deux générations. De 1974 à aujourd'hui, la dette française est passée de 21,2% à... plus de 97% de notre PIB : 2 105,4 milliards d'euros à l'heure où j'écris ces lignes.
Il suffit de prendre deux chiffres. Je ne les sors pas d'un chapeau, pas plus qu'ils ne viennent de sources partisanes ou de statistiques "arrangées". (D'ailleurs, tous les faits et données que vous trouverez dans ce message sont vérifiables et accessibles au public). Il suffit de vous rendre sur le site de l'INSEE pour faire ce calcul élémentaire :
Ce que vous devez comprendre à présent, c'est que depuis quelques années, un changement majeur se produit. Et désormais, la dette nationale fait planer une menace bien plus grande... et bien plus dangereuse... sur votre argent et votre mode de vie.
Permettez-moi de vous parler de Le matin, il se rase, avale son café, noue sa cravate, embrasse ses enfants qui partent pour l'école.
Il est temps ensuite d'aller prendre son train pour se rendre à son travail.
Sur le quai de la gare, des militaires patrouillent : avec les attentats du 13 novembre à Paris, les dispositifs de sécurité sont déployés au maximum.
En chemin, son portable sonne : l'un de ses anciens collègues se rappelle à son bon souvenir -- désormais chômeur, il demande à notre M. Durand s'il n'a pas par hasard des contacts qui lui permettraient de retrouver un emploi.
La journée de travail de François est interrompue par un coup de téléphone de sa mère, qui demande si le déjeuner de ce dimanche est maintenu. Elle apprécie chaque moment passé avec ses petits-enfants, maintenant qu'elle est à la retraite...
... Mais tant François que sa mère se font du souci en ce moment : M. Durand père est hospitalisé après "un petit infarctus". Il semble se remettre correctement, mais tout le monde a eu très peur.
Le soir, après le dîner, M. Durand s'attelle à la corvée mensuelle : faire les comptes avec son épouse Héloïse. Avec la rentrée des trois petits, leur budget est mis à mal ce mois-ci -- même avec les coups de pouce auxquels ils ont droit en tant que famille nombreuse, équiper les enfants de pied en cap reste coûteux !
On pourrait continuer comme ça encore longtemps.
Tous ces milliards, il faut les trouver quelque part. Ces déficits, il faut les financer. Le service de ces dettes, il faut l'assurer. C'est là, précisément, la bataille désespérée que mènent nos dirigeants. Désormais, ils sont aux abois, concentrés sur une seule question :
Un Etat n'a -- théoriquement -- qu'une seule source de recettes : les impôts. Or aujourd'hui en France, sur 36,5 millions de foyers fiscaux, moins de la moitié paient des impôts directs. 46% ne versent rien. En fait, selon l'économiste Philippe Crevel : L'an dernier, en 2014, les recettes fiscales ont dû être revues drastiquement à la baisse : 279 milliards d'euros, soit 5,4 milliards d'euros de moins que prévu. Sur les six premiers mois de l'année 2015, l'impôt sur les sociétés récolté se montait à six milliards d'euros. C'est moitié moins que l'an dernier à la même époque... et Bercy attend 33,1 milliards d'euros sur l'année.
Pour continuer à assurer tous les "bienfaits" de notre Etat-Providence, nos gouvernants ont donc recours au crédit.
Nos autorités prennent un risque énorme... Cela revient à placer l'avenir de notre nation dans des mains externes : des fonds étrangers, des spéculateurs, des institutions bancaires. Selon des chiffres récents de l'Agence française du Trésor (mars 2015), 64,4% de la dette française est détenue par des "non-résidents". Creusons un peu.
Nos créditeurs eux-mêmes sont en piètre forme. Ils sont pourtant désormais le seul rempart qui nous protège d'un effondrement pur et simple de notre système -- insolvable.
... Soudain, nos villes et nos banlieues se retrouveraient coupées de leurs lignes d'approvisionnement.
Il suffit d'observer ce qui s'est passé en Grèce. Dès l'instant où la confiance des créditeurs du pays a disparu, le chaos s'est installé.
C'est choquant, je sais... Surtout dans la mesure où la plupart des gens, aujourd'hui, ne réalisent pas à quel point nous sommes proches d'un black-out monétaire total. "La France n'est pas la Grèce", se disent-ils. Ils ont raison :
En France, c'est pire Regardez le graphique ci-dessous, qui montre la dette des pays rapportée au nombre d'habitants. Un Français est, en réalité, plus endetté qu'un Grec ! Qui pourrait -- ou voudrait -- encore nous aider ? Les Etats-Unis ? Ils ont eux aussi une dette publique écrasante... et se débattent avec une crise économique larvée. La Chine, elle qui a fait basculer les marchés en août 2015 suite à son ralentissement brutal ? La BCE, alors ? Hélas, notre prêteur de dernier ressort joue déjà l'équilibriste avec des mesures d'aide colossales.
Suite à la crise de 2008, la BCE a racheté des quantités massives de dettes privées et publiques : 1 100 milliards d'euros au total d'ici septembre 2016. Mario Draghi a annoncé le 12 octobre 2015 qu'il n'hésiterait pas "à en faire plus" si nécessaire. Le 21 janvier 2016, il enfonçait le clou en annonçant qu'"il n'y a pas de limites" à l'utilisation des instruments de politique monétaire à sa disposition. Pas de limites, certes... mais dans quelles conditions ? La France accepterait-elle d'être dirigée par la "Troïka" pour obtenir les subsides européens ? Accepterait-elle neuf plans d'austérité imposés en six ans, comme la Grèce ? Non : si la Banque centrale européenne se mettait un jour aux abonnés absents, il n'y aurait aucune entité supérieure pour sauver notre système. Il est tout simplement devenu trop lourd. Tout ce qu'il faut, c'est une petite perte de confiance... Quelques grands intervenants retirant leur argent tant qu'ils le peuvent encore... ... Et un choc systémique pourrait paralyser notre nation.
36 ans de conseils et d'informations... Depuis 36 ans que les bureaux d'Agora fournissent des informations à leurs abonnés, nous avons assisté plusieurs fois à de tels chocs financiers un peu partout dans le monde. Rien qu'au siècle dernier, nous comptons au minimum 38 événements très similaires à ce que je décris. Mais aucun n'arrive à la cheville de l'effondrement potentiel qui nous guette.
Sauf que ce n'est pas le cas -- et à un moment ou à un autre, quelqu'un s'en rendra compte. Lorsque les Français ne pourront plus utiliser leurs cartes bancaires... lorsque les supermarchés rationneront la nourriture... lorsque nos retraites disparaîtront... lorsque nos avantages sociaux seront supprimés... Qu'arrivera-t-il à la France en tant que nation ? J'aimerais pouvoir dire que nous nous "rallierons à un panache blanc" et que nous nous entraiderons... mais est-ce que ce sera bien le cas ?
Pouvez-vous imaginer ce même genre de scènes... dans toute la France ?
Combien de temps pensez-vous que les gens tiendront sans voler ou avoir recours à la violence lorsqu'ils ne pourront plus manger ? Pas bien longtemps, si vous voulez mon avis. Tout ça doit vous paraître incroyable. Mais nous avons déjà vu ce genre de crises se dérouler -- dans le monde entier. Il n'y a qu'à prendre l'Argentine, où Agora a d'ailleurs des bureaux. La plupart des gens, de nos jours, considèrent l'Argentine comme un pays pauvre. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'avant que les Etats-Unis ne deviennent la première superpuissance mondiale, l'Argentine était l'un de leurs principaux concurrents. Elle ressemblait beaucoup aux Etats-Unis : mêmes ressources naturelles... même démographie... même esprit de libre-entreprise et de liberté. En fait, l'Argentine se développait plus rapidement que les Etats-Unis. Buenos Aires, sa capitale, a été peuplée par des immigrants d'Irlande, d'Italie et d'Allemagne... Elle associait la riche agriculture et l'industrie de Chicago avec des boulevards, des parcs et des bâtiments dignes de Paris. Aujourd'hui, dans ses rues, on voit des trams en décomposition -- qui étaient à l'avant-garde de la modernité il y a des années... De grands bâtiments somptueux mais couverts de graffiti... des fenêtres brisées... De vieilles voitures abandonnées au coin de la rue... C'est comme si une guerre avait été déclarée. En fait, lorsqu'on observe les dégâts que de tels événements peuvent causer, il n'est pas étonnant que nos gouvernants soient prêts à tout pour les empêcher. Par exemple, dans les années 90, des émeutes ont tué 1 500 personnes et détruit 4 000 bâtiments quand un pays asiatique a été frappé par un désastre économique similaire. Mais pire que les dommages matériels... la violence... ou même les pénuries alimentaires... ... De tels événements ont un pouvoir stupéfiant qui dépasse même l'ampleur d'une catastrophe naturelle majeure.
Par exemple, lorsqu'un violent choc monétaire a frappé la première république de l'Allemagne, Weimar, des millénaires de tradition allemande ont disparu du jour au lendemain. Des familles se sont effondrées alors que les jeunes se retournaient contre les plus vieux... des femmes ont été forcées de se prostituer... des mères mendiaient pour nourrir leurs enfants... des gangs politiques s'entretuaient dans les rues... Selon les termes d'un jeune homme à l'époque : Imaginez cela dans la France d'aujourd'hui... alors que notre culture elle-même est déjà attaquée... que les jeunes semblent être en guerre contre nos traditions... Imaginez une seconde :
Cela n'arrive PAS qu'aux autres Je ne dis pas que vous vous réveillerez demain dans une France post-apocalyptique. Ou que, cette nuit, quelqu'un va tenter d'enfoncer votre porte pour piller vos tiroirs.
Personne. C'est la nature humaine : votre cerveau lui-même ne vous permet pas de croire qu'un désastre peut se produire. Même en présence de preuves limpides qu'un bouleversement majeur guette... Même lorsque le simple bon sens avertit que le danger est proche... La plupart des gens se convainquent que ça ne peut pas arriver. Et pourtant... A la fin des années 80, par exemple, Bill Bonner, président-fondateur d'Agora et contributeur régulier à nos publications, était convaincu que le marché japonais était sur le point de s'effondrer. Les Nippons vendaient plus de voitures que les Etats-Unis... fabriquaient de meilleurs ordinateurs et télévisions. A vue de nez, il était insensé de parier contre eux. Pourtant, en page 87 de notre prévision annuelle, nous écrivions : Cette année-là, le marché boursier japonais atteignait le plus haut sommet de son histoire. Les livres et les films de l'époque décrivaient un avenir où le Japon était devenu première puissance mondiale. Cela peut sembler idiot aujourd'hui, mais à l'époque, c'était un fait.
Deux mois plus tard, le marché japonais entamait un déclin qui se poursuit encore aujourd'hui, le Japon entrant dans ce qu'on appellerait plus tard "la décennie perdue". Les gens refusaient purement et simplement de croire qu'un grand changement était en route... et que le Japon allait s'éteindre. Tout comme les gens ne pouvaient pas croire que l'URSS tomberait... que le boom des dot.com prendrait fin... ou que les prix de l'immobilier américain chuteraient. Comme je le disais plus haut, Agora a été à l'avant-garde de la quasi-totalité de tous les grands événements mondiaux des 30 dernières années.
En fait, des années auparavant, la CIA avait même essayé de persuader Bill Bonner de les laisser utiliser Agora comme façade pour leurs opérations internes... (Au cas où vous vous poseriez la question, la réponse a été non...) Malgré tout cela, malgré notre historique de prévisions, nous avons toujours rencontré la même résistance chaque fois que nous publions de nouvelles recherches. Aujourd'hui, je vois le même genre d'"aveuglement volontaire" en France. Les gens pensent que notre Etat-Providence à crédit peut continuer éternellement... que nous pouvons continuer à emprunter et dépenser de l'argent qui n'est pas vraiment là... Mais peu de ces mêmes gens réalisent que nos gouvernants, au niveau le plus élevé, mènent dans une lutte désespérée pour maintenir ce système en place. Or le fait est qu'ils ont désormais utilisé tous les outils habituels à leur disposition.
Quelle marge de manoeuvre leur restera-t-il si le système cale ? Que pourront-ils encore faire lorsque la BCE elle-même menacera de couler ?
Bienvenue dans l'ère de la "Faillite 2.0" Eh bien, c'est là que les autorités passeront au recours ultime. Une véritable arme de destruction massive. Elle permet à notre gouvernement de passer à une toute nouvelle forme de gestion de la dette publique -- une sorte de "Faillite 2.0" dont vous êtes la principale victime, de manière brutale et parfaitement arbitraire. C'est très simple. L'Etat français joue les cigales... ... Mais les Français eux-mêmes, en revanche, sont des fourmis. Des fourmis qui mettent de côté 15,9% de leur revenu -- soit un total de 10 000 milliards d'euros. Cela représente cinq années de PIB français. De l'argent épargné, mis de côté, pris sur vos dépenses quotidiennes... pour assurer votre avenir, protéger votre famille en cas de coup dur, rendre votre retraite plus confortable. Mais aussi... un gisement de richesse proprement irrésistible pour nos dirigeants. Pris au piège de la dette, coincés par leurs engagements électoraux, dans l'incapacité -- par manque de courage ou simplement parce que c'est socialement et humainement impossible -- d'augmenter suffisamment les impôts pour combler les déficits... ... Nos dirigeants sont en train de s'arranger pour pouvoir prendre cet argent directement. Se servir sur votre compte, d'un simple clic de souris.
La monnaie se dématérialise : les espèces et les chèques perdent de la vitesse ; la carte bancaire représente désormais 49,5% des paiements. Réfléchissez-y : comment vous est versé votre salaire ou votre retraite ? Comment payez-vous vos factures ? Par chèque... ou par prélèvement automatique ? Vos virements mensuels sur votre assurance-vie, les mensualités de votre prêt immobilier (ou autre) sont-ils faits en allant remplir un formulaire à la banque, que vous donnez au guichet... ou bien directement, presque "invisiblement", grâce à l'informatique ? Quelle proportion de votre argent et de votre épargne avez-vous sur vous -- ou du moins à portée de main, accessible en moins d'une heure ? Il faut le reconnaître : dans nos sociétés modernes, l'argent n'a quasiment plus d'existence matérielle. La seule chose qui rend vos dépôts concrets, à tout instant, au moment même où vous lisez ces lignes, c'est l'accord tacite que vous avez avec votre banque :
Or ce que peu de gens réalisent... c'est que cet équilibre de pouvoirs absolument fondamental dans le fonctionnement de notre société est en train de basculer -- et pas à votre avantage. C'est simple : d'un côté, on a des banques sur le fil du rasoir -- pour qui votre argent est indispensable afin de continuer à financer leurs "stratégies" boursières, leurs paris risqués et leurs montages compliqués sur les marchés financiers... De l'autre, on a un Etat endetté, à bout de ressources, qui a épuisé tous les recours pour renflouer ses caisses. Ce petit monde s'est mis d'accord pour trouver sur votre dos une solution bien "arrangeante" -- l'Etat, qui a ainsi à portée de clic un accès direct à votre patrimoine... et les banques, ravies de coopérer tant qu'elles peuvent continuer leurs petites manoeuvres financières. Un plan insidieux qu'ils ont déjà commencé à mettre en place dans tout le système financier mondial... Une véritable "loi martiale" pour votre argent... Quelque chose qui semble impensable au premier abord :
Ce plan étrange et dangereux prend déjà de l'importance dans la plus grande économie de la planète -- les Etats-Unis --, et ailleurs dans le monde.
Pour beaucoup de gens, ces contrôles financiers apparemment disparates peuvent paraître n'avoir aucun rapport entre eux. Mais si vous avez l'habitude d'identifier des schémas récurrents dans l'économie -- comme moi --, ces "petits cailloux blancs" vous mènent à un point extrêmement inquiétant. Les limites sur le cash sont en train de rapidement devenir la norme dans de nombreux pays, y compris sur notre continent... Récemment, un fonds de pension suisse a tenté de retirer une très grosse somme de cash de sa banque... dans l'idée de conserver ces liquidités à part, dans un coffre-fort. La banque a refusé de donner son argent au fonds. Et lorsque le fonds s'est plaint, le gouvernement a approuvé la banque ! Il a même admis qu'il avait "recommandé aux banques recevant des demandes en cash [...] d'agir de manière restrictive." Ce n'est pas tout :
Si vous ne voyez pas où tout cela nous mène, alors je vais être très claire : ils viennent prendre votre argent. L'abolition complète du cash menace déjà notre liberté même, et nos droits en tant que citoyens, dans de nombreux domaines en France :
Je suis certaine que vous avez également remarqué une discrète pression dans beaucoup d'autres endroits également.
Terrorisme... Argent sale... Travail au noir... Trafics en tous genres... Les autorités associent désormais le cash à la criminalité et à l'insécurité. Elles tentent d'en faire une chose "sale", dangereuse... voire carrément dépassée. Ce sont là des manoeuvres délibérées pour mettre en place un contrôle total sur votre argent -- et votre vie d'une manière générale. Alors, à la moindre alerte, nos dirigeants pourront -- littéralement -- appuyer sur un bouton et ponctionner à leur guise les sommes qui leur sont nécessaires pour se sortir d'affaire. Rappelez-vous ce qui s'était produit à Chypre en 2013 : 60% de l'épargne au-dessus de 100 000 euros prélevée pour renflouer les banques lors de la crise. Pas de processus démocratique, pas de vote, pas de concertation. Juste une décision de technocrate au pied du mur.
Appelons un chat un chat Nous avons là tous les éléments d'une dictature économique. La mort du libre-échange. Pire encore : la mort du droit à la propriété, pourtant inscrit en toutes lettres comme droit naturel et imprescriptible dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Le journaliste financier John Rubino l'a écrit lui-même : D'autant que cette tendance gagne en popularité parmi les autorités. Le Fonds monétaire international, le 9 octobre 2013 : Michel Santi, macro-économiste et conseiller indépendant auprès de banques centrales : Kenneth Rogoff, économiste, ancien chef économiste au sein du FMI : Thomas Piketty, économiste et auteur du best-seller Le capital au XXIème siècle : Ce n'est qu'un minuscule échantillon des idées qui circulent en ce moment parmi les conseillers, penseurs, universitaires, décideurs et autres politiciens. Il faut vraiment que vous compreniez ce qui se passe. Il y a un sérieux risque de perdre plus que "juste" votre argent. C'est votre liberté qui est menacée. Il s'agit de nos autorités financières et politiques qui veulent vous imposer leurs intérêts et décider ce que vous pouvez faire ou ne pas faire avec votre vie. Est-ce de la paranoïa exagérée ? Je l'espère.
Et personne ne sait à quel point les choses seront difficiles quand la digue cèdera. J'ai vu des cas où de tels chocs économiques durent des années...
Est-ce que cela arrivera aujourd'hui... ou demain... ou dans un mois... Je n'en sais rien. Personne ne le sait.
Bon nombre de mes amis et collègues -- dont certains des gens les plus riches et les mieux connectés que je connaisse -- se préparent déjà. Certains achètent de l'or et de l'argent... Certains déménagent dans des pays étrangers... voire renoncent à leur citoyenneté française. C'est assez extrême, je sais... En ce qui me concerne, j'ai déjà acheté une propriété sur un autre continent... dans un pays sûr et favorable. Je m'organise pour pouvoir y vivre en toute sécurité et tranquillité.
Et vous, que faites-vous ? Bien entendu, je réalise que la plupart des gens ne peuvent pas mettre de telles mesures en place. J'ai donc mis en place quelques stratégies simples -- applicables par n'importe qui --, qui vous permettront de vous protéger. Je sais que vous m'avez déjà consacré beaucoup de votre temps, et je vous en remercie ; je ne veux pas en abuser trop longtemps. Je n'entrerai donc pas dans les détails de ces stratégies tout de suite. Elles sont intégralement expliquées dans un Rapport Spécial spécialement rédigé pour cette occasion. Il est court -- 28 pages seulement... mais efficace. Vous y trouverez tous les détails sur cette crise, mais aussi les moyens de protéger votre argent -- je parle bien là de vos pièces et billets, de ces petits morceaux de liberté qui nous restent encore -- de la confiscation qui menace.
Le fait est que l'effondrement de notre système ne se limitera pas à une baisse des profits... et à quelques licenciements. Cela changera tout votre mode de vie en France -- de la manière dont vous vous déplacez... à vos achats quotidiens... en passant par le système de santé ou même le "simple" ramassage des ordures. Durant ma carrière au sein d'Agora, j'ai écrit plusieurs livres. Quatre au total. Ils disponibles sur n'importe quelle librairie en ligne. Mais je vous recommanderais de lire ce Rapport avant tout.
Je l'ai conçu pour qu'il devienne VOTRE ressource indispensable pour comprendre comment cet effondrement se déroulera.
Lire ce rapport, c'est la première chose que vous pouvez faire, tout de suite, pour vous protéger. Mais j'ai appris il y a bien longtemps qu'on ne peut pas se contenter de suivre la foule... de faire ce que tous les autres font... en espérant obtenir des résultats différents. Et il est agréable de savoir que j'ai un refuge quelque part -- surtout maintenant que mes trois fils ont grandi et commencé à fonder leurs propres familles. J'aime à savoir qu'ils ont un endroit où se réfugier si le pire arrivait. Mais je suis bien consciente que vous ne pouvez peut-être pas prendre les mêmes mesures que moi...
Et je ne vais pas le faire uniquement en vous offrant le Rapport Spécial dont je vous parlais à l'instant. Même s'il vous donne déjà, à lui seul, une longueur d'avance considérable sur la tempête qui menace.
Considérez cela comme votre propre "briefing confidentiel" sur le sujet... venant d'une maison d'édition multinationale (nous avons des bureaux sur tous les continents... sauf l'Antarctique !), indépendante et spécialisée dans la recherche et l'information financière. Et si vous imaginez des graphiques complexes... des tableaux interminables... et des documents qui ressemblent à des relevés bancaires... ne vous inquiétez PAS ! Ce n'est PAS DU TOUT ce que j'ai en tête.
Même si vous ne faites rien d'autre... Avant de vous en dire plus, permettez-moi de vous donner un conseil très important. En fait, même si vous ignorez tout le reste de ce message et ne gardez que cela en tête, vous aurez déjà fait beaucoup pour la sécurité de votre épargne. Voilà ce que je vous recommande :
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut clôturer tous vos comptes, sortir de votre assurance-vie et mettre votre carte bancaire à la poubelle. Pas d'excès. Gardez juste bien en tête que la crise devient aiguë... et que l'abolition du cash fait partie des dernières armes dont disposent nos autorités. Ne vous retrouvez pas dans la même situation que les Grecs à l'été 2015 : contraint de subvenir à tous vos besoins et obligations avec moins de 500 euros par semaine. Par ailleurs, les euros en liquide ne sont pas la seule sorte de devise que je vous recommanderais de garder sous la main en temps de crise.
Je vous recommande donc d'en détenir une certaine quantité -- 10% de votre épargne environ --, sous forme physique (pièces, lingots, etc.). Il faut également qu'il soit aisément accessible -- pas dans un coffre à l'étranger, par exemple, car il vous serait alors impossible de le récupérer en cas de crise avec contrôle aux frontières. Ces deux principes de base étant acquis...
L'immobilier est bien entendu une réponse simple et claire à cette question... mais tout le monde n'a pas les moyens de s'acheter des immeubles entiers et de gérer un empire immobilier. J'ai toutefois une "botte secrète" : un placement qui vous ouvrira tout l'univers des rentes immobilières -- pour quelques centaines d'euros seulement. Il ne s'agit pas des fausses bonnes idées du genre "plan de défiscalisation", Loi Duflot et autres... ni l'achat de biens nécessitant des centaines de milliers d'euros d'apport (sans parler du prêt à contracter pour acquérir la propriété)... Non : je parle d'un investissement immobilier qui...
Ceci dit, avant de continuer, j'aimerais qu'une chose soit bien claire entre nous : Ce n'est pas un plan pour s'enrichir à toute allure. Vous n'allez pas gagner un million du jour au lendemain. Mais au bout du compte vous génèrerez de l'argent de façon constante, sûre et cohérente. Regardez ce graphique, qui montre l'évolution de la catégorie de placement que je vous recommande sur les dernières années : Certes, rien n'est garanti, bien sûr. Cette opportunité d'investissement ne convient pas à tout le monde... Mais la partie que je préfère, c'est que votre argent travaille... sans avoir besoin d'y toucher. Vous pouvez dormir sur vos deux oreilles. J'ai consacré un Rapport Spécial entier à ce placement, en sélectionnant les quatre titres qui me semblaient les plus efficaces. Vous n'aurez plus qu'à vous positionner. Intitulé "Du rendement hors du circuit bancaire", ce Rapport fait partie de votre "Briefing confidentiel" -- et en tant que tel, j'aimerais vous l'envoyer en cadeau.
Il y a de nombreuses choses que vous pouvez faire sans prendre de mesures aussi drastiques.
8 fois plus de rendement que le Livret A... En voici une autre... On a tous en tête l'histoire d'un investisseur individuel qui, à la manière d'un Warren Buffett, investit dans les entreprises les plus profitables, participe à leur construction, en rachète des parts et construit ainsi une fortune à faire rêver. De votre côté, vous devez vous contenter des 1% de votre Livret A... des 2,5% de votre Plan Epargne Logement... et des quelques plus-values que les "robots" vous laissent sur les marchés boursiers. C'est du moins ce qu'on voudrait vous faire croire. Voyez-vous, les mesures de relance décidées par nos autorités -- assouplissement quantitatif, injections monétaires, déficits, etc. -- ruinent le rendement de votre épargne... tout en allant gonfler les profits, bonus et salaires de l'industrie financière.
Il y a là une occasion en or. Car en ce moment se développe un système tout neuf -- loin des marchés boursiers -- qui vous permet d'investir vous, directement, dans le développement de petites et moyennes entreprises... sans forcément subir des risques importants... et tout en touchant un revenu de 4%... au minimum. Pas besoin d'être business angel... pas besoin d'avoir le portefeuille de Warren Buffett ou le carnet d'adresses de Vincent Bolloré... pas besoin d'avoir des centaines de millions d'euros à votre disposition. Quelques centaines -- voire quelques dizaines -- d'euros suffisent pour vous lancer. S'il y a bien un moyen de participer à la croissance d'une entreprise potentiellement explosive dès ses débuts, c'est bien celui-là. D'ailleurs, beaucoup d'investisseurs ne s'y trompent pas : la collecte de fonds par ce nouveau moyen a augmenté de 100% entre 2013 et 2014...
Sans rien faire ou presque... sans mettre un centime sur les marchés actions... et en prenant des risques strictement contrôlés. J'ai là aussi sélectionné les solutions qui me semblent les plus prometteuses ; j'aimerais vous les révéler dans "8 fois plus de rendement que le Livret A en finançant l'économie réelle", un autre Rapport Spécial qui vous est déjà réservé. Je vous dirai dans quelques instants comment le recevoir.
Mais avant tout... Je ne vous offre pas des services de gestion directe de patrimoine. En ce qui me concerne, je n'investis que très rarement, dans ma vie personnelle. Mais lorsqu'il se présente une occasion que je trouve intéressante et pleine de potentiel, parfois, je la partage... Et c'est exactement ce que je suis en train de faire. En plus de tout savoir sur les trois solutions que je vous ai décrites jusqu'à présent, vous découvrirez également...
Je ne vous conseillerai donc jamais assez de ne PAS ATTENDRE pour découvrir toutes les recherches que je vous offre aujourd'hui, dont...
Et ce n'est pas tout...
Une opportunité d'investissement Il s'agit des REIT.
En procédant ainsi, le groupe espère retirer un revenu constant sur une période prolongée. Il fonctionne un peu comme un bailleur, mais à bien plus grande échelle. Les propriétés peuvent comprendre des magasins d'alimentation, des stations service, des supérettes et autres.
En effet, au cours de mes recherches, je suis tombée sur un secteur dans lequel les REIT offraient des performances encore plus intéressantes -- et un rendement tout bonnement exceptionnel... En novembre 2013, Seeking Alpha, une société spécialisée dans la recherche d'investissements, a tiré la conclusion que les REIT représentaient "la meilleure façon d'investir dans le boom des données mobiles". Et cela semble tout à fait logique, quand on y pense... Avec le développement du marketing, des objets connectés et de la lutte contre le terrorisme, les centres de données sont appelés à se multiplier et à se développer.
Pour les prestataires du secteur, l'immobilier est capital, au sens propre comme au sens figuré : il faut des bâtiments bien situés proches de gros tuyaux internet (fibres optiques), alimentés en électricité de puissance, équipés de générateurs électriques, de batteries de stockage, ventilés en permanence avec des protections (accès, incendie) élaborées et surtout hautement sécurisés. Nous avons là une manne pour les REIT fournissant de tels biens... et ceux qui y possèdent des participations voient leurs profits s'arrondir au fil des mois.
Et encore une fois, la meilleure nouvelle, c'est que vous n'avez pas besoin de toucher à des actions ordinaires. Vous n'avez même pas besoin de toucher à des produits dérivés ni même des obligations. Je vous expliquerai tout dans un quatrième Rapport Spécial entièrement consacré aux REIT. Il vous donnera toutes les explications nécessaires pour vous positionner. Maintenant, passons au plus important.
Agora ne dépend pas des fonds publics Nous sommes tout seuls. Si nous réussissons, c'est grâce à vous. Pas à Big Brother ou à l'industrie financière. Vous pouvez donc voir pourquoi je souhaite protéger les épargnants et les citoyens contre ce que je pense être un effondrement grave et prolongé de la France. Nous sommes tous dans le même bateau, si vous me permettez l'expression.
Il est donc peut-être temps -- avant de vous laisser repartir -- de vous révéler ce qui, exactement, va déclencher cette crise sans précédent. En réalité, les grands événements de ce genre ont rarement des "déclencheurs" reconnaissables au premier coup d'oeil. Le Printemps arabe, par exemple -- une révolution qui a renversé quatre gouvernements, déclenché des guerres civiles et mené à des manifestations en masse et des émeutes dans 12 autres pays au moins -- a commencé lorsqu'un vendeur de fruits s'est immolé par le feu. Lorsque toutes les conditions sont réunies -- comme c'est le cas actuellement en France -- il ne faut pas nécessairement un grand événement pour déclencher une implosion historique. Il s'agit presque toujours d'un incident mineur... inattendu... Pensez à la Première Guerre mondiale... durant laquelle des millions de Français, d'Allemands, d'Anglais, d'Américains... sont morts dans les tranchées. Tout a commencé avec un coup de feu à plus de 1 000 km de là -- par un Bosniaque.
... Alors je ne pense pas qu'il faudra beaucoup pour déclencher un bouleversement irréversible de notre mode de vie. C'est pour cette raison que je voudrais vous donner tout ce que nous avons sur cette crise et sur cette toute nouvelle forme de "Faillite 2.0". Et l'aide la plus importante que je vais vous proposer... je ne l'ai même pas encore mentionnée. Il s'agit d'un "laisser-passer" qui vous permettra d'accéder à un groupe très spécial au sein de l'une des plus grandes sociétés de recherches multinationales au monde -- Agora Inc.
Je ne veux donc pas vous laisser sans vous offrir un moyen de rester au courant des développements de cette menace croissante. Une sorte de passeport pour notre monde -- un monde qui n'est PAS gouverné par le financièrement correct... ou la ligne officielle... ou des médias partisans... ou des idées dangereuses.
Ce n'est pas un service d'investissement, même si je donne parfois à mes lecteurs une recommandation si je pense qu'elle en vaut la peine. Ce n'est pas non un service de trading... ou un guide de développement personnel. En aucun cas.
C'est un service pour les gens qui veulent plus que ce qu'on voit à 20h sur les grandes chaînes... Qui veulent s'isoler des idées fausses dont nous sommes constamment bombardés... et découvrir quelque chose de neuf. Pour ceux qui savent que "la vérité est ailleurs"... et ont simplement besoin d'un moyen de la trouver. Jusqu'à présent, le groupe d'épargnants qui reçoivent ma lettre ont découvert des informations telle que...
Et ce ne sont là que quelques-uns des sujets que nous couvrons. Il y a bien d'autres choses à venir... Et voici ce que certains de mes lecteurs ont à dire : Vous ne trouverez cela nulle part ailleurs. Mais que les choses soient claires : La Stratégie de Simone Wapler est destinée aux personnes sérieuses. Je n'ai aucune intention de distribuer de précieuses informations gratuitement à des pinailleurs qui souhaitent uniquement satisfaire leur curiosité. Alors si vous attendez ma recommandation sur ce que vous devriez faire maintenant... ... La voici : N'attendez pas. Aujourd'hui, je vous invite à rejoindre La Stratégie de Simone Wapler... et recevoir tout ce que j'ai mentionné jusqu'à présent :
Vous avez peut-être vu des informations de ce genre se vendre pour 500 euros, voire 5 000 euros. Mais je souhaite vraiment que ce message atteigne le plus de monde possible. C'est pour cette raison que le prix d'un accès intégral à La Stratégie de Simone Wapler pendant 12 mois est de 97 euros.
Et vous pouvez essayer mon service sans prendre de risque.
Vous ne risquez rien. Et franchement, il y a beaucoup à gagner. Il suffit de cliquer ici pour vous lancer. Dans les mois qui viennent, je pense que le gouvernement prendra des mesures de plus en plus désespérées au cours de sa bataille contre l'effondrement de notre système. Nous avons vu que votre épargne est en première ligne de cette guerre... et qu'elle n'est pas du côté des gagnants. Nous avons vu que nos dirigeants prennent des mesures pour limiter votre accès et votre utilisation d'argent liquide -- de cash. Or les choix que vous faites aujourd'hui décideront de votre situation le jour où nos euros disparaîtront... où nos banques fermeront... et notre mode de vie s'effondrera. C'est moi qui prends tous les risques. Vous aurez 90 jours -- trois mois pleins -- pour voir si La Stratégie de Simone Wapler est faite pour vous et prendre votre décision. Si c'est non, il suffit de nous écrire sous trois mois, tout simplement. Vous recevrez un remboursement de 100%. C'est ma garantie. Mais la décision vous appartient. Après tout, c'est votre argent, votre vie... et votre choix. Il suffit de cliquer ici pour commencer immédiatement. Au passage, au cas où vous ayez manqué certains détails, voici ce que vous recevrez aujourd'hui : ▪ Quatre Rapport spéciaux exclusifs, introuvables en librairie ou ailleurs en ligne :
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